Procès Fourniret:

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Joëlle Parfondry avait 25 ans lorsqu’elle a croisé la route de Michel Fourniret. Douze ans plus tard, elle n’a pas toujours réussi à surmonter l’agression dont elle a été victime.

Il est 17h, ce 19 janvier 1995, lorsqu’elle s'apprête à fermer son salon de toilettage pour chiens installé à Jambes, dans la banlieue de Namur, en Belgique. Selon l'accusation, Michel Fourniret, cagoulé et armé d'un pistolet et d'un couteau, avait fait irruption dans le salon. Il ligote la jeune femme, commence des attouchements et tente de la violer. Joëlle Parfondry ne doit son salut qu’à un mensonge: elle affirme être enceinte et convainc l'accusé de ne pas la violer. «Ça reste présent au quotidien, dès qu'il y a un film violent à la télévision, dès que je vois une cagoule dans la rue, il y a plein de choses qui reviennent», a expliqué à la barre cette jeune femme blonde à la silhouette menue. Et de décrire les angoisses dont elle souffre depuis douze ans. «C'est un froid qui vous reprend. Tout revient (...) Il y a son nom partout, son visage partout, c'est très dur», a-t-elle expliqué au président de la cour, Gilles Latapie.

Un état confirmé par son mari, Patrick Biason. «Elle vit dans un état de terreur permanente, un état de stress généralisé», a-t-il raconté, évoquant les difficultés de son épouse pour «se reconstruire» depuis cette agression. «Elle a un sentiment de culpabilité très, très fort. Elle se demande pourquoi elle est toujours en vie», a-t-il précisé.

En début d'audience, Michel Fourniret a reconnu le vol avec arme. Mais il a contesté l'accusation de tentative de viol, comme lors de l'instruction. En 2004, Monique Olivier avait avoué aux enquêteurs belges que son mari était l'agresseur de la jeune femme.

Source 20minutes

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Michel Fourniret va-t-il finir par sortir de son mutisme? Après avoir versé quelques larmes mardi, Michel Fourniret a assuré mercredi lors de son procès devant la cour d'assises des Ardennes qu'il répondrait désormais aux questions sur les faits, acquiesçant à la question d'un avocat qui lui demandait «nous avons donc votre parole?».

«Si le cas se présentait, je crois que ce serait un ordre et dans ce cas je parlerais en public», a affirmé aussi Michel Fourniret, alors que Nicole Clerget, son épouse de 1969 à 1984, déposait à la barre au deuxième jour de l'examen sa personnalité.

>> A lire, les portraits de Michel Fourniret( http://www.20minutes.fr/article/221432/France-La-mesange-Monique-Olivier-complice-presumee-des-meurtres.php ) et de Monique Olivier

Quelques instants auparavant, elle lui avait demandé de s'exprimer et de reconnaître «que tout cela était atroce». «Est-ce que tu veux dire que tu souhaites que je prenne la parole en public?», lui demande alors Michel Fourniret. «Peut-être», répond-elle en le fixant du regard, avant d'ajouter «sûrement».

«C'est important, tout est important en ce moment. J'enregistre tout ce que tu m'as dit. C'est beaucoup plus important que ce qu'on peut imaginer», ajoute-t-il avant de se dire prêt à briser le silence.

Depuis l'ouverture du procès devant les assises des Ardennes le 27 mars, Michel Fourniret, 66 ans, n'a cessé de monnayer sa participation aux débats contre un procès sans public ni journalistes. Il n'a que très rarement dérogé à cette position et sans jamais vraiment consentir à s'expliquer sur les faits.

L'échafeau..

shrek a écrit:

L'échafeau..

Tout a fait d’accord

Comment peut on encore suivre un tel procès où l'ignoble fait encore la loi ?
Là je crois que l'on peut vraiment dire Merci M. Badinter.

Je ne vais pas rouvrir un débat qui a eu déjà lieu ici, mais il y a de quoi regretter que de tels sentiments "d'humanisme" aient pu permettre la vie à de tels individus. Terminé.

j'le filerais à bouffer aux canibales... heinnnn Denis^^

Robert a écrit:

j'le filerais à bouffer aux canibales... heinnnn Denis^^

tu leur en veux ?

Robert a écrit:

j'le filerais à bouffer aux canibales... heinnnn Denis^^

Hummm ?
On m'appelle ?

2 choses :
- Les cannibales n'existent pas, ce sont seulement des gens d'une culture différente et qui peuvent faire ce qu'ils veulent parce que leur apport à la civilisation est immense.
- Je reste contre la peine de mort, comme je le pense tout Homme civilisé ...

heinnnnn Bobby ^^

Les cannibales existent Denis et ds certaines situations, tu pourrais le devenir tout en restant civilisé
Tu as oublié le Crash d'avion au pérou Pour survivre, les survivants ont bouffer les morts bien conservés ds la neige, merde il y avait pas de micro onde pour décongeler par contre
En afrique, ou certains pays équatoriaux,on t'apprends même à bouffer des cafards, exellents en étant grillé à point

je ne suis donc pas civilisée

Ouais mais toi tu bouffe de la saucisse du moins succotte

rôôôôôôô

Sujets identiques fusionnés.